Ayez l’ “X-trême attitude” à toutes les profondeurs ! Inspiré de la méthode “Countdown” de compte à rebours, le X-Rap Countdown est un leurre très moderne aux finitions remarquables. Doté d’une action “rolling” importante, il coule en vibrant pendant les pauses. Il coule 30% plus vite que le classique Countdown. Parfaitement équilibré, il se lance également très loin.
Caractéristiques:
- Vitesse de descente contrôlée
- Puissante action “rolling”
- Papillonne au relâché
- Coulant
- Finitions X-Rap
- Yeux holographiques 3D
- Hameçons VMC® Black Nickel
- Réglé à la main & testé en bassin
Comment animer le leurre:
Pour utiliser la méthode “X-Rap Countdown”, procédez comme ceci:
Immédiatement après avoir lancé, maintenez votre bannière tendue puis comptez pendant la descente du leurre.
Une bonne méthode pour compter est de prononcer “mille un … mille deux … mille trois … ”. Continuez de compter jusqu’à ce que le leurre touche le fond ou qu’il soit arrêté par des herbiers. Votre fil sera alors détendu.
Souvenez-vous de votre dernier chiffre prononcé à ce moment-là. Puis, comptez un à deux chiffres en arrière et ramenez le leurre avec votre moulinet. Le X-Rap Countdown restera alors juste au-dessus des herbiers ou du fond.
Si vous pêchez dans le courant, lancez légèrement en amont et laisser couler le leurre, bannière détendue, puis commencez à le ramener une fois la profondeur voulue atteinte.
Rapala est la marque de leurre la plus utilisée depuis 1936. Nos leurres sont distribués dans plus de 140 pays dans le monde. Chaque Rapala est testé en bassin et réglé à la main avant d'être mis sur le marché.
Tout a commencé avec un Finlandais affamé et un couteau à découper. C’était dans les années 1930, lorsqu’un pêcheur en est arrivé à la conclusion suivante : les gros poissons mangent les petits, et plus particulièrement les petits poissons blessés. Ainsi commence le plus grand récit de pêche jamais conté. Alors que Lauri Rapala pêchait dans les eaux du lac Paijanne en Finlande, il se mit à ramer doucement et observa. Et il constata que les prédateurs affamés qui se précipitaient sur un banc de vairons attaquaient systématiquement celui qui nageait moins bien, qui semblait blessé.